carte postale

Salut à vous les fidèles du blog !

Le billet du jour commencera par un point météo. Car comme la croyance populaire le laisse entendre, il pleut bel et bien en Bretagne, aujourd’hui. Eh oui, encore un festival où la pluie est au rendez-vous –une fois de plus dans cet été où le soleil est parti en vacances– et, nous ne sommes toujours pas, ou peu, équipés en vêtements imperméables.

Nous voici donc à Landerneau, dans le Finistère, pour la 3ème édition du festival « Fête du Bruit ». Celui-ci se déroule en pleine ville, ce qui est plutôt rare pour un festival ; et sur un stade de foot, dont la pelouse fait office de tapis, et évite que tout le monde patauge dans la boue.

Après s’être restauré au catering, dont le buffet froid était tout simplement délicieux, tout le monde se met au boulot.

Au plateau, chacun essaie de se caler dans les centimètres carrés qui lui sont impartis…. Huit groupes pour une scène, ça en fait des dizaines d’instruments qui se croisent, des praticables qui se montent et démontent, des décors qui discutent ensemble et des techniciens qui comparent leurs câbles. Le mien est plus long que le tien !!! Chacun a 30 minutes d’installation avant de jouer, comme dirait Marge, c’est la course à l’échalote !

Il y a soit disant une « conférence de presse » prévue à 16h. Elle sera écourtée faute de journaliste. Il n’y a que le public qui n’ait pas peur de l’eau, apparemment. Qu’à cela ne tienne ! Nous nous dirigeons direct vers le stand de crêpes et de galettes pour compenser !

Parmi la ribambelle de groupes qui jouent aujourd’hui (pêle-mêle : Arno, Asa, Simple Minds, Stromae, etc…) nous sommes heureux de croiser Rodolphe, trompettiste des Fils de Teuhpu et, pour l’occasion, d’Asa. Quelle bonne surprise !

8 tour bus d’un coup, on ne voit pas ça tous les jours !

Jo notre déesse

 

On joue tôt, on mange et on part tôt, sachant qu’il y a encore de la route à faire pour atteindre les Landes où on nous attend le lendemain. Juste le temps de jeter un œil et une oreille à Simple Minds et toute la troupe regagne le bus, et retrouve sa « déesse » d’un soir.