carte postale

Salut à vous !

Si cette semaine devait avoir une thématique, il est évident que ce serait la mine. Car aujourd’hui comme hier, c’est dans un ancien bassin minier, à Firminy, que nous posons notre Fabrique à Chansons. Firminy n’est pas seulement connue pour son passé ouvrier mais aussi pour son patrimoine architectural : le fantôme du Corbusier plane sur toute la ville.

Nous ne débarquons pas vraiment en terre inconnue, nous étions venus jouer dans cette salle du Firmament en 2006, mais en configuration assise… On s’en rappelle bien,  le public ne semblait pas adhérer à l’idée, et avait petit à petit fait disparaître toutes les chaises !

Nous sommes accueillis, cette fois-ci, par l’Association Free Mômes qui, depuis 2004, organise un à deux concerts par an dont les bénéfices sont reversés à des associations ou projets humanitaires concernant des enfants, et dont le parrain n’est autre que notre copain Guizmo de Tryo. Le concert d’aujourd’hui a donc une dimension un peu spéciale – et pour nous, plutôt deux fois qu’une – puisque dans cette démarche caritative, c’est notre « Pitt Ocha pour un monde de sons » qui est l’heureux élu. Cette asso que nous avons créée en 2009, à la sortie du deuxième tome des aventures de notre petit personnage, a pour vocation de participer au financement de projets musicaux et / ou culturels. Toutes les infos ici : www.pittocha.com

 

A cette occasion, nous accueillons un membre de plus dans notre équipe pour la journée : Pierrick qui est en charge de la coordination autour de l’asso. Avant qu’il ne monte son stand, nous profitons de sa visite pour faire une petite réunion sur les divers projets soutenus par l’association.

Entre la réunion et les balances, pas de temps mort : on donne des interviews, et en extérieur tant qu’à faire. Le rond-point situé devant la salle devient la salle de presse de Firminy.

Petit aparté : nous présentons officiellement nos excuses aux clients de Bertrand, organisateur en chef de la soirée, qui ont été privés de pâte à chou toute la semaine dernière, leur boulanger ne pouvant être au four et au moulin !

Vient l’heure de l’ouverture des portes et la foule se presse. Dès le début de soirée plus de 1 500 personnes sont déjà là. Alkabaya n’a même pas peur, et échauffe avec générosité un public qui n’attend que ça. Après un changement de plateau égayé par Le Collectif du Vendredi & La Djembé Academy, c’est à nous d’entrer en piste.

 

Le public est à point, l’ambiance bouillante… et tout ça  culminera sur un « N.L.T » des grands soirs !
Heureusement que l’on n’avait pas essayé de remettre des chaises…

PS: On vous l’a dit et redit dans les billets précédents, nous avons besoin de votre collaboration littéraire pour faire turbiner la Fabrique à Chansons. Voici un des courriers que nous avons reçu cette semaine. Merci à Coline pour son joli dessin.