Salut à vous !

Aujourd’hui, on ne va pas remonter jusqu’à Vercingétorix ou la Préhistoire pour vous conter Clermont, puisque nous avons découvert « musicalement » cette ville sur le tard, sans passer par la case café-concert ; c’est avec Un Air, Deux Familles que nous avons atterri pour la première fois rue Serge Gainsbourg qui ne s’appelait même pas encore comme cela, à l’époque.

Ne nous mentons pas ! Nous ne le savions pas mais Clermont-Ferrand a toujours été au cœur de nos tournées, aux pieds de nos camions chaussés à Chamalières.

À Cébazat, au Sémaphore, nous avions croisé une Camille chanteuse; au festival Hippocampus, sous la pluie, on avait admiré une sculpture art chie tectural pour empêcheurs de tourner en rond ; mais surtout, en mai, en mars mais aussi en novembre, nous sommes venus à la Coopérative de Mai, de mars ou de novembre.

Depuis, certains membres de l’équipe cauchemardent encore, dans leurs nuits les plus sombres,  entendant la rumeur de 1500 personnes crier « Coupe, coupe, coupe ! » ; quand le décor ne veut plus être dompté… les techniciens doivent composer.

Les kilomètres ne nous font pas peur, les routes en lacets aux pieds des volcans, non plus, on est vacciné. Tant mieux car depuis quelques années nous avons croisé une petite bande de puces aux oreilles acérées défendant la chanson et un lieu atypique !

Riom z’un peu ! Rions un pneu !

Les Ogres de Clermont-Ferrand