carte postale

Salut à vous les fidèles du blog !

Cette semaine de retour de la Réunion, nous reprenons direct la route pour trois concerts dont le premier, à Paris, dans la splendide salle du Trianon. C’est un peu un revival pour nous de nous retrouver ici, coincés entre feu l’Élysée-Montmartre et la Cigale où nous avions -particulièrement bien- fêté nos 10 ans. Bref, on est un peu comme à la maison dans ce quartier.

La journée commence par un déchargement sportif, musclé et acrobatique ; les escaliers, ça ne pardonne pas ! Pas de problème sans solution ; du coup, on a une grosse équipe de copains motivés et motivants pour décharger tout notre bazar. Ajoutez à cette punition qu’une partie de l’équipe subit le décalage horaire, nous voilà partis pour une bonne grosse journée !! Nous investissons donc les lieux, vraiment magnifiques.

Qui dit « date à Paris », dit « date à Paris ». Avec tous les avantages et inconvénients que cela implique, et les horaires qui vont avec. Afin de ne pas déranger le voisinage, nous devons finir tôt ; la journée s’organise pour.

Une fois le matos en place, nous passons à table -et on mange bien- et après avoir fait un peu de musique, et un petit tour, rebelote, c’est l’heure de manger. Deux fois en 4h, on ne se laisse pas abattre ! Mais comme c’était vraiment bon, on le souligne.

Non loin de Pigalle, nous trouvons le temps de nous glisser devant la maison de Boris Vian. On y trouve au fronton, cette maxime que nous vous laissons méditer : La direction de l’établissement informe les génies méconnus que le manque de place ne lui permet pas de les recevoir. 

La soirée commence par le show de David Bosteli, un artiste surprenant entre musique et humour. 20h ont sonnées, c’est à nous d’entrer en piste ! L’occasion faisant le larron, nous avons conviés des copains à venir taper la chansonnette avec nous : Guillaume Lopez et ses « flûtes maléfiques » pour un « Cœur Arrangé » et un « Salut à toi » tout en gralha, et Christian de Têtes Raides qui, après un duo avec Fredo sur « Les Amants sans nuit », s’est attaqué au ménage de la scène.

Trêve de bavardage, profitons des images.

PS : cette année, vous remarquerez le véritable effort sur les cartes postales, chacune d’entre elles rivalisant de beauté.