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Salut à vous !

Pour cette unique date de la semaine, c’est Amiens, la capitale picarde aussi célèbre pour sa cathédrale que pour ses hortillonnages qui nous accueille. Nous débarquons donc sous un ciel radieux dans ce Zénith, tout nouveau, tout neuf, tout de toile rouge vêtu.

 

Quoi de plus normal pour l’homme de Picardie de nous retrouver ici après deux mois d’absence sur la tournée ? Aujourd’hui c’est le retour de Boubou la tortue, notre chauffeur de camion.

Une journée en Zénith ressemble beaucoup à une journée en Zénith. Nous sommes loin du centre-ville, loin de tout, c’est tout de suite plus difficile d’aller se promener, de faire autre chose que rester sur place.

Nous occupons notre temps en préparant les deux dates qui viennent à grands coups de réunion technique et de répétitions.

Pour « tenir le coup » nous sommes très bien nourris – mmmmh les frites maison ! – par « A feu doux » qui boude les cuisines du Zénith pour rester dans son camion super équipé.

 

Mais on voit, on rencontre, on retrouve les amis, la famille, les connaissances : Philippe de Ginger production qui nous programme ce soir, rencontré au fil de l’aventure Néry ; Fabian, Mathilde et Antoine du journal Fakir ; notre père et notre petit frère Léo, qui monte avec nous sur scène pour une petite partie de batterie sur « Accordéon pour les cons ».

La fratrie Burguière au complet

 

En somme (ah ah!), une soirée chaleureuse malgré le froid polaire extérieur en compagnie d’un public généreux et enjoué.

Le côté obscur d'un spectacle costumé