Zénith – Dijon (21)
Salut à vous !
Aujourd’hui, nous nous rendons à Dijon, chef-lieu de la Bourgogne qui se situe à 220km de Nancy, à 310 kilomètres au sud-est de Paris et 190 kilomètres au nord de Lyon… On est un peu dans les chiffres en ce moment !
Arrivés au Zénith – rouge. A ne pas confondre avec celui de Nantes qui est bleu, lui – , on attaque le boulot dès 8h du matin parce qu’une vraie p***** de grosse journée nous attend: la salle est complètement vide quand nous arrivons, ce qui veut dire qu’il y a environ 4 milliards de trucs à monter, dont notre gros système son qui sert à tout le monde. Puisqu’il sert à tous, il faut qu’il soit installé tôt pour laisser le temps à chacun de se mettre en place et de faire ses balances.
Avec une journée comme ça, autant vous dire qu’on n’a pas vu Dijon ! Le Zénith est complètement excentré, pas possible d’aller vite fait en ville à pied. Peut-être que le tramway décoincera la salle de son isolement, mais pour le moment, c’est encore en travaux. Double peine pour la promenade !
On ne se plaint pas, pour le coup, nous passons une bonne journée et une chouette soirée en « famille ».
Les « grands frères », Zebda, que nous sommes ravis de retrouver – enfin – sur scène. Ils ont une sacrée patate et un plaisir évident à être de nouveau là. Plaisir partagé par le public qui mouille la chemise pendant le show des Toulousains.
Et il y a aussi les « cousins » de La Rue Kétanou qui, n’étant pas en tournée, se retrouvent uniquement pour cette date.
On ne peut décemment pas passer à côté de l’occasion d’inviter tout ce beau monde avec nous sur scène : La Rue Két’ pour un instant Pitt Ocha avec « La Vache enragée » ; puis Mouss et Hakim pour « 3 – 0 », rejoints ensuite par Magyd pour une version inédite très « Ogres » de leur « Y’a pas d’arrangement ».
Bref, une soirée de type « joyeux bordel familial ». Ceux qui ont l’audace de monter tout ça ? Pierre-Yves, Adeline, Hervé et leur bande de Pyrprod, également tourneur de Tryo, qui appartient aussi à cette même famille.
C’est le concert le moins cher de la saison au Zénith, et surtout la rencontre rare de trois véritables groupes alternatifs : le public ne s’y trompe pas et répond présent en masse, n’hésitant pas à faire des kilomètres, voire à affréter des bus, pour participer à la fête (Allemagne, Belgique, Paris, Var, Nantes, Charente-Maritime, Lille…). A moins de 100 bornes de chez elle, notre Nicole et son fameux « livre » ne peuvent qu’être là aussi.
Au final, quelques 6 500 personnes sont là. Et à gauche, à droite, de tous les côtés, ça bouge, ça chante, ça danse !
En ces temps chahutés et parfois moroses, voilà le genre de soirée qui tient chaud.
4 réponses à “Zénith – Dijon (21)”
Très belle soirée ! Merci à toutes et tous les protagonistes sur la scene et surtout derriere
merci à vous tous,j’ai partagé une merveilleuse soirée auprès de vous,je l’aurais prolongée volontiers,mais il me fallait repartir,afin de pouvoir vous retrouver très vite,sur la route!je vous attends avec mon fameux cahier,mais si cela me semble trop long,je reprendrai la route pour vous retrouver,peut etre dans « une rue de Paname »,qui sait?bises à tous
Nicole
Une soirée bien agréable, 3 groupes pour le prix d’un, et quels groupes !
Une première pour moi avec Zebda et la Rue Kétanou, pour les Z’Ogres, j’essaye d’assister à un maximum de vos pestacles à travers la France, depuis que je vous ai découvert au feu Café Musiques Nwer Leu de Merlieux et Fouquerolles, près de Laon, en 2000 et des brouettes !
Le Zénith ne vaut pas l’intimité des petites salles où on avait un peu plus de chances de vous croiser après les concerts, mais bon, on va pas chipoter !
MERCI pour cette très « chouette » soirée!! Et puis quelle ambiance sur scène et dans la salle… A bientôt.