carte postale Lamballe

Salut à vous !

Incroyable mais vrai, c’est sous le grand soleil breton que nous débarquons aujourd’hui à Lamballe. Un temps parfait pour affirmer notre bronzage automnal et faire notre gym en extérieur !

Nous sommes déjà venus une paire de fois dans cette ville (pour « Tohu-bohu dans les bars » et « Enragés, engagés, enchantés »), jamais dans la même salle, mais toujours accueillis par la même équipe, celle de Dominique et ses multiples Yves. Nous visitons donc le Quai des Rêves, en nous rendant au petit déj’. Et là, dans la pièce, en plus des viennoiseries et autres mets pour se mettre de bonne humeur pour la journée : un tourne-disque et des piles de 45T. La classe !

 

Dans un rue de Lamballe, on a vu une course cycliste au son de l'accordéon

 

Il s’en passe des choses à Lamballe. En discutant avec Dominique, on a appris plein de choses. Comme nous ne sommes pas radins, on partage : aujourd’hui le blog sera culturel comme le centre où nous jouons ce soir. A Lamballe, il y a :

- les plus importants abattoirs porcins d’Europe

- un haras national : laboratoire et centre de sélection des étalons pour maintenir, entre autre, la race « postier breton ». Un lieu plein de boute-en-train !

- le spécialiste international du blindage de véhicule, du fourgon blindé à la limousine.
- Mathurin Méheut est un dessinateur, illustrateur lamballais du début du XXème connu pour ses décorations du paquebot « Normandie » ou de la fameuse faïence de Quimper.

Le culinaire, c’est aussi du culturel. Précisons donc que toute la Bretagne était dans les loges : crêpes, cidre, fine… On a dégusté aussi des préparations bizarres, mais goûteuses. Et puis, comme on est au bord de mer, on mange du poisson : du saumon. Cherchez l’erreur.

 

La salle est en configuration assis-debout, une fosse et des gradins. Depuis la scène, on a bien vu que ceux du fond sur leurs sièges n’ont pas laissé leur part au chien. Et ça chantait, et ça frappait des mains !
On a passé un vrai bon moment avec ce public, de tout âge, attentif et qui, dès le premier morceau, a prouvé qu’il n’était pas, lui, venu en touriste ! Sauf peut-être nos amis du Jyva’zik.

En somme, encore une belle soirée !